Saint-Jean-Pied-de-Port en France
Lisez le texte et remplissez les trous avec ces mots :
sonnent venus lorsque perpétuels porte ville
paresseusement succédant jours Age halte histoire
siècle cité cadre dont touristes leur
Dans un superbe ______________ de montagnes, posée comme son nom l’indique au pied du port de Roncevaux, voici la dernière étape française des pèlerins de Compostelle. Modelée par une _________________ militaire agitée ______________ témoignent ses remparts et sa citadelle, l’ancienne capitale de Basse-Navarre est aujourd’hui une ____________ aussi agréable que tranquille. Les maisons de grès rose se dorent _________________ au soleil et seules viennent les envahir, aux beaux ___________, des armées pacifiques de ___________________ ….et, toujours, de pèlerins.
Sur le chemin de St-Jacques
Une cité disputée
Ville neuve créée au 12e _____________ au confluent des trois Nive (la Nive Arnéguy, de Béhorléguy et le Laurhibar), St-Jean entre dans l’histoire en 1512 _____________ Ferdinand le Catholique, roi de Castille et d’Aragon, chasse le roi de Navarre, Jean d’Albret, au-delà des Pyrénées. Poursuivant leur avantage, les troupes espagnoles s’emparent de la ____________ en août 1512. Dès lors la place forte sera l’objet de sièges _______________, Navarrais et Espagnols s’y ________________ jusqu’en 1530. A cette date, Charles Quint, devenu roi de Castille et de Leon, l’estimant trop difficile à défendre, l’abandonne aux Albret, reconnaissant du même coup l’indépendance de la Basse-Navarre.
CORRIGE
Dans un superbe cadre de montagnes, posée comme son nom l’indique au pied du port de Roncevaux, voici la dernière étape française des pèlerins de Compostelle. Modelée par une histoire militaire agitée dont témoignent ses remparts et sa citadelle, l’ancienne capitale de Basse-Navarre est aujourd’hui une cité aussi agréable que tranquille. Les maisons de grès rose se dorent paresseusement au soleil et seules viennent les envahir, aux beaux jours, des armées pacifiques de touristes….et, toujours, de pèlerins.
Sur le chemin de St-Jacques
Au Moyen Age, St-Jean-Pied-de-Port, dernière étape avant l’Espagne, est un grand centre de regroupement de jacquets venus de tous les coins d’Europe. Dès qu’un cortège est signalé, la ville est en émoi : les cloches sonnent, les prêtres récitent des prières ; les enfants escortent les pèlerins vêtus du manteau gris, le bourdon à la main ; les habitants, sur le pas de leur porte, tendent des provisions. Le cortège s’éloigne en chantant des répons. Ceux qui sont trop las font halte rue de la Citadelle où le monastère de Roncevaux leur a ménagé un abri.
Une cité disputée
Ville neuve créée au 12e siècle au confluent des trois Nive (la Nive Arnéguy, de Béhorléguy et le Laurhibar), St-Jean entre dans l’histoire en 1512 lorsque Ferdinand le Catholique, roi de Castille et d’Aragon, chasse le roi de Navarre, Jean d’Albret, au-delà des Pyrénées. Poursuivant leur avantage, les troupes espagnoles s’emparent de la ville en août 1512. Dès lors la place forte sera l’objet de sièges perpétuels, Navarrais et Espagnols s’y succédant jusqu’en 1530. A cette date, Charles Quint, devenu roi de Castille et de Leon, l’estimant trop difficile à défendre, l’abandonne aux Albret, reconnaissant du même coup l’indépendance de la Basse-Navarre.